18 décembre 2011

Exploiter un Cyber ... en réel (4)

Je lui ordonne de lécher mes couilles, ça lui permet de reprendre son souffle, sans cesser de servir.

Je le laisse à sa pause jouer avec mes boules.

Le jeune mek crane rasé est venu s'installer à ma gauche. Il a trouvé un bâtard qui lui sert gentiment et assez classiquement la queue. Je surveille du coin de l'oeil. Il ne doit pas être très satisfait, se penche vers moi : "ton bâtard ne pourrait pas me sucer ?".

Grand sourire, grande satisfaction. Cyber l'a bien servi, sa technique et ses capacités sont bien supérieures à la moyenne. Il me rend fier de lui. En plus, le jeune mek a bien compris quelle est sa place : un objet sexuel que je dirige, au contraire du grand black que j'ai rembarré plus tôt, non seulement parce qu'il ne me plaisait pas, mais surtout parce qu'en s'adressant directement à Cyber et non à moi, il me prouva qu'il n'avait rien compris aux rôles respectifs de chacun.

Je pousse doucement la tête de Cyber vers la gauche pour lui montrer ce que j'attends de lui. Le jeune mek écarte le bâtard de deuxième rang et sa jambe pour lui donner accès. Cyber reprend son rôle, sans enthousiasme, ni rechigner, juste un bon bâtard bien docile. Ma queue est là, abandonnée mais tendue, bien nettoyée et, avec le plaisir que lui procure Cyber en s'appliquant sur son chibre, ça donne envie au jeune mek d'y gouter.

Comme il pense qu'il n'est pas un bâtard, mais juste un mek qui a envie de me sucer, il reste assis à mon niveau, histoire de montrer qu'il n'est pas à celui de Cyber. Ses lèvres se posent sur mon gland, glissent le long du membre et arrivent jusqu'à la base. Envie de bien faire, envie de sentir sa gorge bien remplie. Le mouvement de Cyber et du jeune mek se synchronisent.

Rapidement, je veux que le jeune mek se concentre plus sur ma satisfaction et moins sur la sienne, je lui retire Cyber, et remets ce dernier en position pour me lécher les couilles. La position n'est pas facile, il a toujours les mains attachées dans le dos, doit glisser sa tête entre le banc où je suis installé et celle du jeune mek qui effectue, maintenant, des allers-retours réguliers sur mon membre. Je le sens contrarié, par la position, par la situation.

Ce n'est pas pour me déplaire, petite leçon pour lui rappeler qu'il est là pour me servir, me servir en deuxième rang, comme en ce moment, voire ne pas me servir du tout, si c'est celà que je décide. Mais je ne prolonge pas trop cette insatisfaction et trouve intéressant d'amener progressivement le jeune mek au rang de Cyber. Pas le temps ni l'intention de le dresser en bâtard, ce n'est pas l'endroit, mais lui montrer qu'il peut facilement lui aussi se comporter en lope.

J'inverse les positions, doucement. Cyber réagit impécablement, et, après quelques mini-secondes d'hésitation, le jeune mek accepte de prendre la place de Cyber à me lécher les couilles. Je remets mon masque à gaz, bouteille de poppers au bout du tuyau et organise l'alternance régulière de Cyber et du jeune mek sur ma bite et mes couilles. Le ballet dure un moment. La docilité avec laquelle ce que je suis obligé d'appeler, maintenant, les deux batards répondent à mes impulsions, pour prendre leur places respectives ou améliorer leur service oral, participe autant à mon plaisir que celui, plus physique, d'avoir mes parties génitales ouvertes à leur langue, leurs lèvres, leur bouche, léchées, travaillées et sucées.

Je les ai tous les deux maintenant en train de lécher mes couilles, l'un à genoux entre mes jambes, l'autre assis à mon niveau, le corps en vrille pour avoir sa bouche au contact de mon entrejambe. Les deux en concurrence pour satisfaire le Master. Je m'imagine que Cyber est excité à l'idée de montrer qu'il sait mieux faire que cet apprenti bâtard rencontré pas hasard, et ce n'est pas faux, il est clairement mieux dressé et plus doué. Le jeune mek doit être plus excité à l'idée de sa batardisation d'un soir, à laquelle il résiste toujours un peu : il reste assis à mon niveau et n'a pas poussé sa soumission à se mettre à genoux,  aux côtés de Cyber.

Je ferme les yeux, ils ne sont plus là, juste la sensation de quelque chose de chaud et régulier qui s'active mécaniquement et avec savoir-faire au seul endroit de mon anatomie qui ne soit pas renfermé sur moi même par le latex.

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